La plénitude est difficile à saisir, peut-être même insaisissable. C’est une alternance de contentement et de manque, un équilibre instable en accord permanent avec soi. Nous sommes des équilibristes, en recherche d’un équilibre que nous savons provisoire, mais qui nous permet d’avancer sur la voie de la plénitude, l’état de ce qui est à son plus haut degré de développement.